Victimes d'une pression cygénétique de
plus en plus forte, stressés par des mois
de traque et de chasse, l'observation
de nos grands animaux est devenue
très compliquée en France.
Le spectacle afligeant du brame ces
dernières années, avec de moins en moins
de grands cerfs, m'a conduit à regret,
à trouver ailleurs un endroit où
la magie de ce moment fort de la
vie animale opère encore.
Et c'est en Angleterre dans la banlieue de
Londres, à Richmond exactement, que j'ai pu
vivre le brame au milieu même des animaux.
Là bas, les cerfs et les hommes cohabitent
en bonne intelligence dans une
ancienne réserve de chasse royale
reconvertie en parc naturel.